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Ma Nouvelle terre

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12 août 2012

Quand la musique est bonne

N'allez pas croire que je suis dépressif, dégoûté de la vie.

Ce sont juste des réflexions que je trouve intéressante à partager. Mais je pourrais tout aussi bien vous parler de ma journée au boulot et vous prouver que l'être humain dans sa généralité est débile. Je pourrais vous raconter le rêve très agréable, mais tout autant étrange, que j'ai fait l'autre nuit. Je pourrais aussi vous parlez de ma dernière sortie avec mes amis, mais honnêtement, ça n'aurait aucun intérêt. Si vous trouvez déjà que mes messages n'ont aucun intérêt, je ne vous retiens pas. Partez, enfouissez le souvenir de ce blog, de ses messages ennuyant à mourir au fin fond de votre mémoire. Il ressortira lorsqu'un de vos proche vous parlera d'un truc qu'il a trouvé sans intérêt, et vous lui direz que vous avez vous aussi trouvé quelque chose de sans intérêt, mais vous n'arriverez pas à vou souvenir de quoi il s'agissait. La seule trace que vous pourrez avoir de moi, c'est dans votre historique de navigation, "il y a un an".

Maintenant, pour éviter de plomber le morale encore d'avantage aux personnes qui passent ici, parlons musique vous voulez bien ?

Personnellement, je ne suis pas trop "chanson", je préfère vraiment la musique, la mélodie. Je n'écoute que très rarement les paroles : Elles ne servent à rien, soit ça parle d'un amour perdu, soit d'un amour retrouvé, ça parle aussi des fois des amis qui sont super, ou alors du système qui est vraiment pas beau. On a compris, ce sont les valeurs importantes de la vie, ça suffit maintenant !

Ecoutez les mélodies, les instruments, tout ce qui fait du bruit ! Fermez les yeux, et laissez-vous-vous imprégner de ce qu'elle provoque en vous. S'il ne se passe rien, oubliez cette musique, elle est nulle. Si vous commencez à sentir votre coeur battre au rythme de la musique, ou au contraire, se retourner dans tous les sens, votre respiration accélérer, s'arrêter, cette musique et faite pour vous.

Ne vous contentez pas d'écouter la musique, vivez-la !

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12 juillet 2012

Débat

D'habitude, j'aime parler avec cette personne. On a toujours des conversations très intéressantes. On refait le monde à nous deux, qu'il le veuille ou non. Puis, parce qu'on est pas si débile que ça, on le remet en place. Avis convergents, on acquiesce les propos de l'autre, avis divergents, c'est un débat à réveiller les morts, mais toujours dans la bonne humeur.

Mais cette fois, impossible d'en placer une. Je lui expose ma position, lui explique que je préfère un mode de pensé à un autre, et elle se braque comme jamais je ne l'avais connue. Je ne suis pas d'accord avec ces idées, soit, mais je les respects ! En quoi elle refuse d'essayer de comprendre mon point de vue ? Je comprends le sien, je vois comment on peut penser comme elle, et oui, ça pourrait être une excellente façon de penser... dans un autre monde du notre.

Dans un monde de bisounours, où "tout le monde il est gentil", oui ! Ca marche, et c'est même, je pense, la meilleur façon de voir les choses. Mais on ne vit pas dans ce monde. Donc on ne peut pas se permettre d'adopter ces idées. Nous courrions à notre perte à tous !

Bien sûr, je ne lui ai pas dit ce qu'il y a dans ce dernier paragraphe. Elle m'aurait assassiné. Mais pourquoi refuser que mon avis soit à l'opposé du sien ? Il faut dire que prêt de la moitié des français pensent comme moi. Elle ne peut pas se fâcher avec la moitié des personnes qu'elle connait quand même, si ? Elle en serait bien capable...

Je vais encore me répéter, mais je ne comprends pas comment on peut en arriver à ce point à aimer (véritablement aimer) son idéologie, et haïr les autres. Si le monde avance, je pense que c'est bien parce que les Hommes n'étaient pas d'accord entre eux, et que de là, ils ont trouvé un terrain d'entente, à défaut de montrer à l'autre qu'ils avaient raison. En tout cas, l'humanité, si elle continue sur cette voie là, ça sera pas joli joli !!

12 juillet 2012

Liberté

C'est fou ce que le simple fait d'écrire ce à quoi je pense m'aide à me sentir libréré. Bien que ça ne dure pas très longtemps. Je devrais peut-être songer à venir plus souvent ici.

C'est comme tout : Je vais penser à y penser.

Je devrai faire tellement de chose. Mais je ne les fait pas, puisque rien ne m'y oblige : C'est ça la liberté ?

Je suis libre de errer sans but, de perdre mon temps à ne rien faire, d'attendre.

Attendre quoi ? Que quelque chose perturbe mon quotidien sûrement. Oui, mon quotidien est libre, et ça ne me plait pas. Cette liberté là, je souhaiterai l'abandonner, et pour cela, j'attend, et en attendant, je l'approuve, quelle ironie !

Mais bon, je suis libre d'approuver ce que bon me semble, puisque cela ne porte préjudice à personne, exepté moi-même. A-t-on le droit de ce porter préjudice à sois-même ? Je pense que oui, bien que ça ne devrait pas être le cas. C'est une liberté de trop.

La liberté semble être une bonne chose à première vue, mais comme toute chose, il ne faut pas en abuser. "Abuser de sa liberté", étrange expression n'est-ce pas ? Et pourtant, jouir d'une liberté trop importante est malsaine. Il faudrait alors la brider, oui, mais jusqu'à quel point ? Autant que l'on veut, tant que l'on ne porte pas atteinte à la liberté individuelle. Donc on ne doit pas y toucher. Nous ne sommes pas libre de le faire. Tien ! Ca c'est plutôt comique ! Nous ne sommes pas libre de toucher à nos liberté ! Alors nous sommes obligé d'accepter ce qu'on nous donne, sans pouvoir refuser. Nous sommes obligé d'accumuler encore et encore tant de chose, sans pouvoir dire "Non !". Dans notre quête de liberté, nous nous sommes nous mêmes bridés.

Cela semble peut-être un peu flou pour certains, sensé pour d'autre, mais totalement dément pour la plupart. Mais bon, vous pouvez bien penser ce que vous voulez : Vous êtes libre vous aussi.

19 juin 2012

Si près, si loin.

Aujourd'hui, j'ai attendu devant son lieu de travail. Pas trop loin, pour qu'elle puisse me voir, pas assez près, pour qu'elle puisse ne pas me voir.

Pendant quelques heures, j'étais là, à penser, à rêver, mais surtout à pleurer.

Pour la peine, le temps a décider de tout faire pour me faire partir, d'abord la pluie, puis la chaleur, et enfin le froid.

J'ai pris une feuille, et je lui ai écrit ce que j'ai sur le coeur. Je ne lui ai pas donné. Bien sûr que j'ai trop peur.

On a tous peur de ce que l'on devrait faire, parce qu'on ne sait pas quelles conséquences auront nos actions, alors on distingue deux catégories de personnes :

-Les personnes qui font ce qu'elles doivent faire, et qui en subissent les conséquences, les personnes courageuses, ou téméraires.

-Les personnes qui attendent, en espérant ne jamais avoir à faire ce qu'elles doivent faire.

Je n'ai encore jamais vu, quel que soit la référence, de personne de la première catégorie. Je pensais en être, je me trompé. Est-ce arrogant ? Sûrement.

Aujourd'hui, je suis prêt à tout abandonner. Mes biens, ma fierté, mon honneur, tout. Mais je sais que ça ne servirai à rien. Alors j'attends, en espérant ne jamais avoir à faire ce que je dois faire, mais combien de temps cette histoire va-t-elle encore durer ? Trop longtemps. C'est dans ma nature d'espérer que les choses iront mieux, mais jamais je n'arrive à reposer les pieds sur terre. Dans ma nature, dans la nature humaine.

Parce que vous, vous êtes prêt de ce que vous voulez ? Ou alors vous en êtes encore loin ?

12 juin 2012

Le journal

Vous connaissez Harry Potter ?

Bien sûr que vous connaissez. Donc le personnage de Ginny Weasley ne vous est pas inconnu.

Je pars du principe que vous la connaissez.

Ginny a toujours été mon personnage préféré de cet série. Allez savoir pourquoi. Peut-être son côté direct, libre. Faut dire qu'elle a pas froid aux yeux cette petite. Peut-être que c'est parce qu'il sagit de la copine du héros ? Non... Je ne pense pas : On la connait depuis le deuxième tome, et ils ne sont ensemble qu'à partir du sixième ! Dans ce cas, peut-être que je m'identifie au personnage, que j'aimerai être à sa place. Je ne sais pas.

Quoi qu'il en soit, je suis tombé par hasard sur le journal intime de Ginny Weasley, écrit par une jeune fille qui doit sûrement elle aussi aimer ce personnage. Cette personne a un talent certain pour faire passer des émotions dans ce qu'elle écrit, mais il y a une chose qu'elle n'a pas réussi à e faire croire : Pas une seule seconde je n'ai réussi à imaginer que ce soit Ginny qui ait écrit ce journal.

J'ai la très nette impression que l'auteur écrit ses propres pensées, les brodes, puis les retranscrit sous le pseudonyme de Ginny Weasley. Je trouve cela très intéressant. J'ai l'impression de m'immiscer dans les pensées les plus intimes d'une personne qui m'est totalement inconnue, que je ne rencontrerai jamais, mais dont je suis la personne qui la connait le mieux au monde.

Très intéressant.

Ou alors, il s'agit juste d'une personne qui s'amuse à imaginer ce que le personnage pourrait bien penser, auquel cas je me trompe totalement. Mais ça n'a aucune importance ! J'éprouve beaucoup de plaisir à me perdre dans mes pensées !

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31 janvier 2012

La chaleur

J'ai toujours vécu dans cette obscurité. J'avais froid, très froid. Mon corps était si engourdi qu'il ne semblait pas être le mien.

Merci à toi, qui m'a fait découvrir qu'il existait quelque chose d'autre que cette étendu sombre et glaciale, toi qui m'a appris que le feu existait.

Merci à toi, qui m'a donné tout ce dont j'avais besoin pour pouvoir me réchauffer. Toi qui m'a donné du bois. Toi qui a planté une forêt pour moi.

Merci à vous deux, qui avez utilisé ce bois pour l'enflammer. Vous qui continuez à entretenir cette flamme qui brûle aujourd'hui plus que jamais.

Merci à toi, qui protège de toute ton âme ce brasier immence.

Et bien sûr, merci à vois trois, qui chaques jours faites grandir cette flamme, vous lui faite gagner en puissance, en grandeur, en beauté.

Vous trois, qui êtes les gardiens de cette flamme qui brûle dans mes entrailles, de mon bonheur, de mon sourire

6 juin 2011

Obsession

Le passé que nous avons en commun elle et moi est plutôt lourd. Je m'en sens entièrement fautif, même si ma raison m'en prouve le contraire. Etant une personne se laissant guider par sa raison, c'est le seul et unique point pour lequel elle échoue.

Entre ma petite amie, elle, et moi, les choses sont pourtant au claire, mais au fond de moi, elle me trouble toujours autant. Maintenant qu'elle a besoin de moi pour l'aider à lutter, qu'elle me demande de l'aide, je me sens plus faible que jamais. Je sens qu'à chaque instant je peux craquer et faire un bond dans le passé.

Ma raison étant toujours aussi inefficasse lorsqu'il s'agit d'elle, je me fais des films, je me dis que si elle repousse les autres, c'est pour moi, que si jamais je venais vers elle, je ferai d'elle la  plus heureuse. Mais non, Même si je n'ai aucune preuve, que ce sois dans un sens ou dans l'autre, ma raison me cris "Non !"

La passion, la raison ? Quels sont mes véritables sentiments pour elle ? Comment le savoir ?

Je pourrais le lui demander, mais elle ne me dira jamais "oui", sachant très bien comment c'est dérouler sa dernière histoire, elle aura trop peur de me dire "oui". La seule méthode est alors de ruser. Mais comment ? Cette histoire m'obsède de plus en plus...

D'autant plus que si je me trompe, j'aurais très certainement le double de ce sentiment de culpabilité que je ressent de manière quasi constante.

Il doit y avoir un moyen. Je le trouverai, c'est ma seule solution.

23 mai 2011

Pardon

Je veux juste qu'elle me pardonne.

Pour elle, je n'ai rien fait de mal, rien à me reprocher, mais je veux qu'elle me pardonne. Ce n'est pas vraiment important qu'elle pense que j'ai fait quelque chose de mal, qu'elle devrait m'en vouloir ou tout l'inverse, je veux juste qu'elle prononce une simple phrase.

 

Est-ce égoïste ?

30 mars 2011

Rester ou changer ?

Ma plus grande peur est, et a toujours été, d'être seule.

Je fais se qu'on attend de moi : Je sourie, je fais rire, j'écoute ceux qui me parle quand ils en ont besoin. La seule chose que je cherche, c'est de rendre heureux les gens qui m'entourent, pour les empêcher de m'abandonner. Suis-je égoïste pour autant ? Je recherche le bien pour mon seul profit. Je suis lâche...

Je veux changer, je veux me libérer de ces chaînes que je me suis moi-même appliquée. Je veux pouvoir crier, crier ma souffrance, crier ma haine, crier mes envies, mes joies, mes déceptions : Je veux crier.

Je veux partir, loin, m'évader, je veux me sentir léger, m'envoler, je veux tout oublier.

Je veux tout changer, faire enfin se qu'il me plait, non pas pour rendre service aux autres, mais pour moi. Pour connaître enfin cette sensation de liberté.

Toujours par rapport à cette peur, j'ai essayer d'en parler à une amie, quelque part, pour "prévenir" que si je ne me comporte pas comme d'habitude, il ne faut pas s'en inquiéter. J'ai été poussé dans cette direction. Dans mon élan, j'ai voulu en parler à celle que j'aime :

"Je t'aime, tu es toujours la pour aider, pour écouter, pour réconforter. Tu tiens à tes principes et ça se voit. Tu es unique, il faut pas que tu changes."

Je n'ai pas eu le temps d'ouvrir la bouche pour lui en parler. Je veux changer, mais changer pourrais entrainer notre séparation.

Je l'aime, mais j'ai de plus en plus de mal à tenir. Un choix s'impose, prendre le risque de perdre l'une des rares chose qui m'ai rendu heureux, ou bien perdre l'occasion de me soulager de mes douleurs. Vaut-il mieux vivre dans la souffrance, avec un rayon de lumière qui puisse nous réchauffer, ou bien dans la lumière, mais sans possibilité de se réchauffer ? Je pourrais peut-être lui en parler malgré tout mais comment lui dire ? Comment agir ? Mes choix sont limité :

- Je peux le lui dire, et agir en concéquence ;

- Je peux ne rien lui dire, et tenter de changer quand même ;

- Je peux ne rien lui dire, et oublier mes idées.

J'ai toujours vécu comme ça, je pourrais très bien continuer éternellement, mais aujourd'hui, une difficulté de taille se dresse devant moi : il y a une brêche, il y a une fuite.

23 mars 2011

Vague à l'âme

On prend des douches, on sort quand il pleut, on joue avec des pistolets à eau, on plonge dans la piscine, et on boit de l'eau. C'est parfois désagréable, mais nous avons besoin de l'eau dans notre vie. Moi j'ai décidé depuis longtemps déjà de chasser l'eau de ma vie. J'en avais marre de sortir régulièrement sous la pluie, de me faire arroser avec ces pistolets à eau, et de boire la tasse dans la piscine. Je l'ai banni. J'ai construit un barrage. Il est solide. Il retient toute l'eau accumulé depuis qu'il a été construit. Rien ne passe, je suis à l'abri, au sec. Voilà se qui m'a permis de vivre heureux jusqu'à aujourd'hui.

Mais si une brêche se manifestait en plein milieu d'un barrage ? Celui-ci contenant une quantité faramineuse d'eau, s'il venait à céder, il dévasterait tout sur son passage, il innonderait chaque passerelle de terre qui était près de lui. Ainsi l'eau recouvrirait tout ce qui était proche à ce barrage.

Cette brêche est dangereuse d'un premier point de vue, mais ce barrage lui même, à quoi servait-il ? D'une part, il empêchait l'eau d'atteindre se qui était sous lui, se qui est un avantage concidérable, mais d'un autre côté, il innondait, et asphyxié tout se qui était en amont, en plus de créer une grande réserve, et par conséquent de concentré au même endroit l'eau qui ne s'est pas écoulé depuis sa construction.

Il semblerait que l'erreur, si erreur il y a eu, est été de construire se barrage. Maintenant, quel est sont futur ?

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